Les grandes blondes
Echenoz, Jean
Bog
Vous travaillez pour la télévision. Comme vous souhaitez produire une série sur les grandes filles blondes au cinéma, mais aussi dans la vie, vous pensez faire appel à Gloire Abgrall qui est un cas particulier de grande blonde. On l'a vue traverser, dans les journaux, les pages Arts et spectacles puis les pages Faits divers du côté des colonnes Justice, il y a quelques années. Ce serait bien, pensez-vous, de lui consacrer une émission. Certes. Malheureusement, Gloire est un peu difficile à joindre.
Nous trois
Echenoz, Jean
Bog
TILBUD 30 DKK inkl. moms
Nous sommes, Meyer et moi, des agents de l'astronautique. Hélicoptères, avions, fusées, tout est bon pour nous élever l'esprit. Même les ascenseurs et les grues. Nous aimons tout ce qui est vertical. Nous sommes aussi des hommes à femmes. Nous connaissons par cœur leurs numéros de téléphone et leurs parfums, nous gardons leurs photos, leurs affaires oubliées chez nous. Nous ne les séduisons pas toujours avec le même bonheur. Elle est sans doute une femme inaccessible mais nous la voulons, nous l'aurons. Nous la suivrons partout. Nous trois parcourrons des millions de kilomètres pour découvrir que, si l'espace n'est que routine, la Terre ne manque pas d'affreux imprévus.
14 - 14
Edgar, Silène & Paul Beorn
Bog
À l’aube de la Grande Guerre…
Adrien et Hadrien ont treize ans et habitent tous les deux en Picardie. Ils ont les mêmes préoccupations : l’école, la famille, les filles…
Une seule chose les sépare : Adrien vit en 2014 et Hadrien en 1914. Grâce à une boîte aux lettres mystérieuse, les deux adolescents vont s’échanger du courrier et devenir amis.
Mais la Grande Guerre est sur le point d’éclater...
Capitale de la douleur
Éluard, Paul
Bog
TILBUD 20 DKK inkl. moms
Poésie
Ce qu'ils disent ou rien
Ernaux, Annie
Bog
«Ça ne vaut plus le coup d'avoir mes règles. Ma tante a dit : t'as perdu ta langue, Anne ? t'étais plus causante avant. C'est plutôt la leur de langue que j'ai perdue. Tout est désordre en moi, ça ne colle pas avec ce qu'ils disent.»
Histoire d'une adolescente comme les autres, qui cherche à communiquer, à comprendre. Mais rien, dans le langage de ses parents, de l'étudiant qu'elle a recontré, dans les mots des livres même, ne coïncide avec la réalité de ce qu'elle vit et elle se trouve renvoyée à la solitude.
Hôtel Casanova et autres textes brefs
Ernaux, Annie
Bog
«J’ai retrouvé une lettre de P. dans un dossier de factures datant des années quatre-vingt. Une grande feuille blanche pliée en quatre, avec des taches de sperme qui avaient jauni et durci le papier, lui donnant une contexture transparente et granuleuse. Il y avait seulement écrit, en haut, à droite, Paris, 11 mai 1984, 23 heures 20, vendredi. C’est tout ce qu’il me reste de cet homme.»
Passion sensuelle, amour maternel heurté, vertiges du transfuge, écriture-révolution, hommage à Pierre Bourdieu… En douze textes, composés entre 1984 et 2006, ce recueil est une invitation à découvrir l’écriture rare d’Annie Ernaux et à s’initier, pas à pas, à ses thèmes les plus obsessionnels et fondateurs.
Je ne suis pas sortie de ma nuit
Ernaux, Annie
Bog
«Ma mère a été atteinte de la maladie d'Alzheimer au début des années 80 et placée dans une maison de retraite. Quand je revenais de mes visites, il fallait que j'écrive sur elle, son corps, ses paroles, le lieu où elle se trouvait. Je ne savais pas que ce journal me conduirait vers sa mort, en 86.»
Annie Ernaux.
Journal du dehors
Ernaux, Annie
Bog
«De 1985 à 1992, j'ai transcrit des scènes, des paroles, saisies dans le R.E.R., les hypermarchés, le centre commercial de la Ville Nouvelle, où je vis.
Il me semble que je voulais ainsi retenir quelque chose de l'époque et des gens qu'on croise juste une fois, dont l'existence nous traverse en déclenchant du trouble, de la colère ou de la douleur.»
Annie Ernaux.
La femme gelée
Ernaux, Annie
Bog
Elle a trente ans, elle est professeur, mariée à un «cadre», mère de deux enfants. Elle habite un appartement agréable. Pourtant, c'est une femme gelée. C'est-à-dire que, comme des milliers d'autres femmes, elle a senti l'élan, la curiosité, toute une force heureuse présente en elle se figer au fil des jours entre les courses, le dîner à préparer, le bain des enfants, son travail d'enseignante. Tout ce que l'on dit être la condition «normale» d'une femme.
La honte
Ernaux, Annie
Bog
«J'ai toujours eu envie d'écrire des livres dont il me soit ensuite impossible de parler, qui rendent le regard d'autrui insoutenable. Mais quelle honte pourrait m'apporter l'écriture d'un livre qui soit à la hauteur de ce que j'ai éprouvé dans ma douzième année.»
Annie Ernaux.
La place
Ernaux, Annie
Bog
Après la mort de son père, Annie Ernaux retrace la vie de cet ancien ouvrier devenu cafetier, qui avait conquis sa «place» dans la société. À travers ce récit autobiographique, l'auteure-narratrice évoque ses origines modestes et ses propres souvenirs. Elle tente aussi, par l'écriture, de combler la douloureuse distance qui s'était creusée entre son père et elle : un hommage plein de justesse et de pudeur.
Prix Renaudot 1984.
La place
Ernaux, Annie
Bog
Annie Ernaux compose La Place après la disparition de son père. Au fil de ses souvenirs, elle retrace la vie de cet homme, ouvrier devenu cafetier, qui avait conquis sa « place » dans la société. Dans une écriture épurée et pudique, elle dévoile la douloureuse distance que ses études et son mariage ont installée entre elle et son père, et rend un vibrant hommage à ses parents.
Classico Lycée - Texte intégral et Dossier.
Groupements de textes :
1. Écrire la pauvreté
2. Portraits, autoportraits et autobiographie
Dossier pédagogique de Kim-Lan Appéré
La Place
Ernaux, Annie
Bog
Après la mort de son père, Annie Ernaux retrace la vie de cet ancien ouvrier devenu cafetier, qui avait conquis sa «place» dans la société. À travers ce récit autobiographique, l'auteure-narratrice évoque ses origines modestes et ses propres souvenirs. Elle tente aussi, par l'écriture, de combler la douloureuse distance qui s'était creusée entre son père et elle : un hommage plein de justesse et de pudeur.
• Des questionnaires progressifs de compréhension et d'analyse du texte
• Des exercices de vocabulaire à partir de champs lexicaux
• Des activités d'expression orale
• Des travaux d'écriture
• Des activités Histoire des arts
• Des activités numériques
• Une interview d'Annie Ernaux
• Les grands thèmes de l'œuvre
1. Le rapport au père
2. La condition sociale
• Deux groupements de textes :
1. La figure du père
2. L'ascension sociale
• Pour préparer l'écrit du Brevet
Un sujet complet
("Classico Collège" - Texte intégral)
L'autre fille
Nyhed
Ernaux, Annie
Bog
« Car il a bien fallu que je me débrouille avec cette mystérieuse incohérence : toi la bonne fille, la petite sainte, tu n’as pas été sauvée, moi le démon j’étais vivante. Plus que vivante, miraculée. Il fallait donc que tu meures à six ans pour que je vienne au monde et que je sois sauvée. »
L'écriture comme un couteau
Ernaux, Annie
Bog
«J’importe dans la littérature quelque chose de dur, de lourd, de violent même, lié aux conditions de vie, à la langue du monde qui a été complètement le mien jusqu’à dix-huit ans, un monde ouvrier et paysan. Toujours quelque chose de réel.
J’ai l’impression que l’écriture est ce que je peux faire de mieux, dans mon cas, dans ma situation de transfuge, comme acte politique et comme don.»
Pendant une année environ, sans régularité particulière, Frédéric-Yves Jeannet a envoyé à Annie Ernaux questions et réflexions. Dans ses réponses, l’auteur de La place et des Années s’efforce de rendre compte d’une pratique d’écriture commencée il y a trente ans, de décrire sa manière de travailler, d’expliciter la «visée» de ses textes.
Le jeune homme
Ernaux, Annie
Bog
En quelques pages, à la première personne, Annie Ernaux raconte une relation vécue avec un homme de trente ans de moins qu’elle. Une expérience qui la fit redevenir, l’espace de plusieurs mois, la « fille scandaleuse » de sa jeunesse. Un voyage dans le temps qui lui permit de franchir une étape décisive dans son écriture.
Ce texte est une clé pour lire l’œuvre d’Annie Ernaux — son rapport au temps et à l’écriture.
Les années
Ernaux, Annie
Bog
«La photo en noir et blanc d'une petite fille en maillot de bain foncé, sur une plage de galets. En fond, des falaises. Elle est assise sur un rocher plat, ses jambes robustes étendues bien droites devant elle, les bras en appui sur le rocher, les yeux fermés, la tête légèrement penchée, souriant. Une épaisse natte brune ramenée par-devant, l'autre laissée dans le dos. Tout révèle le désir de poser comme les stars dans Cinémonde ou la publicité d'Ambre Solaire, d'échapper à son corps humiliant et sans importance de petite fille. Les cuisses, plus claires, ainsi que le haut des bras, dessinent la forme d'une robe et indiquent le caractère exceptionnel, pour cette enfant, d'un séjour ou d'une sortie à la mer. La plage est déserte. Au dos : août 1949, Sotteville-sur-Mer.»
Au travers de photos et de souvenirs laissés par les événements, les mots et les choses, Annie Ernaux donne à ressentir le passage des années, de l'après-guerre à aujourd'hui. En même temps, elle inscrit l'existence dans une forme nouvelle d'autobiographie, impersonnelle et collective.
Les armoires vides
Ernaux, Annie
Bog
«Ça suffit d'être une vicieuse, une cachottière, une fille poisseuse et lourde vis-à-vis des copines de classe, légères, libres, pures de leur existence... Fallait encore que je me mette à mépriser mes parents. Tous les péchés, tous les vices. Personne ne pense mal de son père ou de sa mère. Il n'y a que moi.»
Un roman âpre, pulpeux, celui d'une déchirure sociale, par l'autrice de La place.
L'événement
Ernaux, Annie
Bog
« Depuis des années, je tourne autour de cet événement de ma vie. Lire dans un roman le récit d'un avortement me plonge dans un saisissement sans images ni pensées, comme si les mots se changeaient instantanément en sensation violente. De la même façon entendre par hasard La javanaise, J'ai la mémoire qui flanche, n'importe quelle chanson qui m'a accompagnée durant cette période, me bouleverse. »
Annie Ernaux.
L'occupation
Ernaux, Annie
Bog
«J'avais quitté W. Quelques mois après, il m'a annoncé qu'il allait vivre avec une femme, dont il a refusé de me dire le nom. À partir de ce moment, je suis tombée dans la jalousie. L'image et l'existence de l'autre femme n'ont cessé de m'obséder, comme si elle était entrée en moi. C'est cette occupation que je décris.»
Annie Ernaux.
Mémoire de fille
Ernaux, Annie
Bog
«J’ai voulu l’oublier cette fille. L’oublier vraiment, c’est-à-dire ne plus avoir envie d’écrire sur elle. Ne plus penser que je dois écrire sur elle, son désir, sa folie, son idiotie et son orgueil, sa faim et son sang tari. Je n’y suis jamais parvenue.»
Annie Ernaux replonge dans l’été 1958, celui de sa première nuit avec un homme, à la colonie de S dans l’Orne. Nuit dont l’onde de choc s’est propagée violemment dans son corps et sur son existence durant deux années. S’appuyant sur des images indélébiles de sa mémoire, des photos et des lettres écrites à ses amies, elle interroge cette fille qu’elle a été dans un va-et-vient entre hier et aujourd’hui.
Passion simple
Ernaux, Annie
Bog
«À partir du mois de septembre l'année dernière, je n'ai plus rien fait d'autre qu'attendre un homme : qu'il me téléphone et qu'il vienne chez moi.»
Annie Ernaux.
Regarde les lumières mon amour
Ernaux, Annie
Bog
«Souvent, j’ai été accablée par un sentiment d’impuissance et d’injustice en sortant de l’hypermarché. Pour autant, je n’ai jamais cessé de ressentir l’attractivité de ce lieu et de la vie collective, subtile, spécifique, qui s’y déroule.»
Annie Ernaux.
Une femme
Ernaux, Annie
Bog
Annie Ernaux s'efforce ici de retrouver les différents visages et la vie de sa mère, morte le 7 avril 1986, au terme d'une maladie qui avait détruit sa mémoire et son intégrité intellectuelle et physique. Elle, si active, si ouverte au monde. Quête de l'existence d'une femme, ouvrière, puis commerçante anxieuse de «tenir son rang» et d'apprendre. Mise au jour, aussi, de l'évolution et de l'ambivalence des sentiments d'une fille pour sa mère : amour, haine, tendresse, culpabilité, et, pour finir, attachement viscéral à la vieille femme diminuée.
«Je n'entendrai plus sa voix... J'ai perdu le dernier lien avec le monde dont je suis issue.»
Le mystère Sherlock
Erre, J.M.
Bog
Meiringen, Suisse. Les pompiers dégagent l’accès à l’hôtel Baker Street. Cet hôtel, charmant et isolé, a été coupé du monde pendant trois jours à cause d’une avalanche. Personne n’imagine que, derrière la porte close, se trouve un véritable tombeau. Alignés dans les frigidaires, reposent les cadavres de dix universitaires.
Tous sont venus là, invités par l’éminent professeur Bobo, pour un colloque sur Sherlock Holmes. Un colloque un peu spécial puisque, à son issue, le professeur Bobo devait désigner le titulaire de la toute première chaire d’holmésologie de la Sorbonne. Le genre de poste pour lequel on serait prêt à tuer…
Pour lutter contre la déprime ambiante, Le Mystère Sherlock est idéal. Les dix amateurs de Holmes, comme beaucoup de passionnés, sont de gentils farfelus. Ajoutez à cela qu’ils sont universitaires, et que l’auteur, qui connaît bien son monde, fait de ce microcosme un portrait fidèle et décapant.
Hommage décalé à Sherlock Holmes et à Agatha Christie, cette histoire de "chambre close" amènera aussi le lecteur, dans une perspective ludique, à s’intéresser au pouvoir de la fiction sur le réel.
Communication progressive du français - Niveau débutant complet
Escoufier,Dorothée - Camille Gomy & Kim Ta Minh
Andet
Livre CD-audio
Pour réussir ses premiers contacts avec le français
Une organisation claire : la leçon sur la page de gauche; les exercices d'entrainement sur la page de droite
40 chapitres présentant les actes de parole essentiels aux toutes premières interactions dans un pays francophone (Niveau A1.1 du Cadre européen commun de référence pour les langues)
Un apprentissage progressif : il suit la progression naturelle des méthodes de français
Un usage souple : pour la classe ou en auto-apprentissage
Une préparation adaptée aux certifications : un entrainement efficace pour mieux réussir aux examens
Une large place faite à l'évaluation : de nombreux exercices de révision et des bilans réguliers.
Les "PLUS" du niveau "débutant complet" de la Communication progressive du français :
Une mise en page claire et aérée pour faciliter la lecture
De nombreuses photos pour un apprentissage-plaisir
un Cd mp3 avec près de 300 documents sonores représentant plus de 3 heures d'écoute
350 exercices et activités communicatives
Un test d'autoévaluation pour comprendre comment progresser
Un index des actes de parole
Et... un livre web, 100% en ligne, inclus
La cigale et la fourmi
Ésope
Bog
Ikke på lager
Enfants - Jeunesse
FLE
Fransk
Niveau A0
« Je suis une chanteuse et en été je chante ! »
« Vous aimez chanter ? Et bien dansez maintenant ! »
Il fait très chaud en été mais la fourmi
travaille beaucoup. La cigale n’aime
pas travailler, elle préfère chanter.
Mais l’hiver arrive et il fait très froid.
La fourmi a beaucoup de choses à
manger et dans sa petite maison elle
a chaud. La cigale frappe à sa porte
parce qu’elle a faim mais la fourmi lui
dit de danser après avoir chanté tout
l’été. Morale de l’histoire : Si tu veux
manger, tu dois travailler !
Contenus
Contenu lexical
Les fruits et les légumes - Les
aliments - Le temps et les saisons
Contenu grammatical
J’aime / Je n’aime pas - La forme
négative - Le présent de l’indicatif -
du / de la / des les articles
Dans cet ouvrage :
Jeux et activités | Enregistrement de l’histoire et
du chant | Vocabulaire illustré | Page brico | Tous
en scène !
Thèmes :
Amitié | Travail
Livres ouverts
Estéoule-Exel, Marie-Hélène & Sophie Regnat Ravier
Bog
• Présenter un choix de textes littéraires originaux choisis parmi ceux d’auteurs français et francophones de tous les lieux et de toutes les époques, plus particulièrement du monde contemporain.
• Faciliter l’accès au texte littéraire par des thèmes attractifs et variés (la mer, le voyage, la table, le sport…).
• Offrir des propositions d’activités autour des textes littéraires pour mieux comprendre le fonctionnement de l’écriture et donc mieux lire les textes.
• Faire connaître les cultures et les civilisations françaises et francophones.
• Donner à la littérature la place qu’elle mérite dans l’apprentissage de la langue française de tous les jours.
Telles sont les ambitions de cet ouvrage.
- Les textes peuvent être abordés du niveau A2 au niveau C2 du CECR.
Les petites filles
Ewa, Julie
Bog
På lager
Fransk
Policiers - Thrillers
Bénévole dans une association qui s'occupe d'enfants, Lina est partie poursuivre ses études à Mou di, en Chine. Thomas, lui, enquête pour une ONG sur les disparitions (de petites filles essentiellement) qui sévissent depuis des décennies dans cette région reculée. La jeune femme accepte de lui servir d'espionne sur place. Elle découvre vite les ravages de la politique de l'enfant unique. Mais ses questions vont semer le trouble dans le village.
Quand un mystérieux assassin se met à éliminer un à un tous ceux qui semblaient savoir quelque chose, elle se sent prise au piège.
Réseaux d'adoption clandestins, mafias chinoises, trafics d'organes, prostitution... Oscillant entre passé et présent, un thriller dépaysant qui nous conduit au cœur d'une Chine cynique et corrompue, où la vie d'une petite fille ne vaut que par ce qu'elle peut rapporter.
Un roman plein de suspense, des scènes qui vous font dresser le poil. La Voix du Nord.
Prix du Polar historique 2016
L'horrible sort réservé à certains enfants (filles surtout !...), terriblement passionnant et douloureux !
Le carnet des rancunes
Nyhed
Expert, Jacques
Bog
På lager
romans
Fransk
Policiers - Thrillers
Depuis vingt ans, Sébastien Desmichelles note soigneusement dans un carnet rouge chaque offense, chaque affront, chaque blessure qu'on lui inflige. Il l'appelle son « Carnet des rancunes ». Collègues, voisins, amis, famille… Personne ne le sait, mais nul n'échappe à sa liste. Un jour, tous seront punis selon ce qu’ils méritent.
Lorsque Sébastien fête son cinquantième anniversaire, il décide que l'heure de la vengeance a sonné. Et pour l'homme qui lui a fait le plus de mal, il a prévu un châtiment bien spécifique : la mort.
Porté par le cynisme grinçant de son narrateur, Jacques Expert offre ici un suspense diablement rusé. Et émouvant. "Le Parisien week-end".
La mécanique du rancunier est parfaitement huilée, tout comme le scénario du livre. "Marie France".
Un récit machiavélique sur l’absence et le chagrin, qui va crescendo jusqu’au final, dramatique. "Télé 2 semaines".