La délicatesse
Foenkinos, David
Bog
« François pensa : si elle commande un déca, je me lève et je m’en vais. C’est la boisson la moins conviviale qui soit. Un thé, ce n’est guère mieux. On sent qu’on va passer des dimanches après-midi à regarder la télévision. Ou pire : chez les beaux-parents.
Finalement, il se dit qu’un jus ça serait bien. Oui, un jus, c’est sympathique. C’est convivial et pas trop agressif. On sent la fille douce et équilibrée. Mais quel jus ? Mieux vaut esquiver les grands classiques : évitons la pomme ou l’orange, trop vu. Il faut être un tout petit peu original, sans être toutefois excentrique. La papaye ou la goyave, ça fait peur. Le jus d’abricot, ça serait parfait. Si elle choisit ça, je l’épouse…
– Je vais prendre un jus… Un jus d’abricot, je crois, répondit Nathalie.
Il la regarda comme si elle était une effraction de la réalité. »
La délicatesse a obtenu dix prix littéraires et a été traduit dans plus de quinze langues.
La famille martin
Foenkinos, David
Bog
« C’est ainsi que les choses ont commencé. Je me suis vraiment dit : tu descends dans la rue, tu abordes la première personne que tu vois, et elle sera le sujet de ton livre. »
En mal d’inspiration, un écrivain renommé laisse le hasard lui dicter le sujet de son nouveau roman. Il fait ainsi la rencontre des membres de la famille Martin, dont chacun espère devenir un personnage du livre. Mais la présence de l’écrivain dans leur quotidien perturbe le cours des choses.
Lui qui s’imaginait maître du jeu se retrouve empêtré dans les fils qu’il croyait tirer…
La tête de l'emploi
Foenkinos, David
Bog
À cinquante ans, Bernard est un homme comblé, menant une vie tranquille qu'il pense devoir durer toujours. Évidemment rien ne se passe comme prévu, et son monde s'écroule. Il faut croire que les revers appellent d'autres revers. Délaissé par tous, le voilà contraint à retrouver sa chambre d'adolescent chez ses parents qui se seraient bien passés, eux, de son retour. Peut-il recommencer sa vie quand chacun voit en lui un homme fini? Notre Bernard va trouver d'innombrables ressources pour affronter les épreuves et autres absurdités d'un monde en crise dans lequel il n'a plus de repères. Il y a toujours une seconde chance cachée quelque part.
Le mystère Henri Pick
Foenkinos, David
Bog
En Bretagne, un bibliothécaire recueille tous les livres refusés par les éditeurs. Parmi ces manuscrits, une jeune éditrice découvre une pépite écrite par un certain Henri Pick. Elle part à sa recherche et apprend qu’il est mort deux ans auparavant. Mais selon sa veuve, il n’a jamais écrit autre chose que des listes de courses… Aurait-il eu une vie secrète? Auréolé de ce mystère, le livre de Pick aura des conséquences étonnantes sur le monde littéraire.
Nos séparations
Foenkinos, David
Bog
« Je pense à Iris qui fut importante tout de même, à Émilie aussi, à Céline bien sûr, et puis d'autres prénoms dans d'autres pénombres, mais c'est Alice, toujours Alice qui est là, immuable, avec encore des rires au-dessus de nos têtes, comme si le premier amour était une condamnation à perpétuité. »
Alice et Fritz s'aiment, et passent leur vie à se séparer. Les raisons : la cyclothymie des mouvements passionnels, les parents et les beaux-parents, le travail et les collègues, les amis d'enfance, deux Polonais comme toujours, les cheveux et les dents, une longue histoire de cravate, la jalousie, et Schopenhauer bien sûr.
Numéro deux
Nyhed
Foenkinos, David
Bog
« En 1999 débutait le casting pour trouver le jeune garçon qui allait interpréter Harry Potter et qui, par la même occasion, deviendrait mondialement célèbre.
Des centaines d’acteurs furent auditionnés. Finalement, il n’en resta plus que deux. Ce roman raconte l’histoire de celui qui n’a pas été choisi. »
Vers la beauté
Foenkinos, David
Bog
Antoine Duris est professeur aux Beaux-Arts de Lyon. Du jour au lendemain, il décide de tout quitter pour devenir gardien de salle au musée d'Orsay. Personne ne comprend cette surprenante reconversion de la part d'un spécialiste de Modigliani. Qu'a-t-il vécu pour fuir ainsi ? Mathilde, la DRH du musée, est décidée à percer son secret.
Fables
Fontaine, Jean de la
Bog
«Rien ne sert de courir ; il faut partir à point.»
Pas d'inquiétude : cette recommandation ne concerne pas votre réveil (trop tardif !) qui vous oblige à prendre vos jambes à votre cou pour arriver à l'heure au collège! Non, c'est le constat que La Fontaine fait après une compétition qui a vu la tortue battre le lièvre à la course – qui peut le croire? Car le conteur invente des saynètes où, derrière les animaux, on imagine des hommes qui pourraient se comporter de la même façon. Il y a toute une vision morale de nos faits et gestes dans ces fables. Et qui dit morale dit moralité, en voici une : «La raison du plus fort est toujours la meilleure.» Ça se discute, non?
+ un dossier en quatre parties :
Je découvre
J'analyse
Nous avons la parole
Prolongements
Édition préparée pour les classes de 6e des collèges
Caresse de rouge
Fottorino, Éric
Bog
TILBUD
Le jour où Colin a fait ses premiers pas au milieu du salon, entre la table basse et le canapé, Marie est partie. Elle a laissé son enfant avec Félix. C'était entendu comme ça. Ensemble, le père et le fils se sont inventé une famille en convoquant dans l'appartement désert des ombres chinoises, des personnages de dessins animés. Colin a grandi et Félix avec lui. Lorsque Colin a réclamé sa maman, Félix a dû trouver des réponses, tout seul. Jamais il n'aurait imaginé regarder son petit garçon avec les yeux d'une mère.
Jusqu'où un père peut-il se travestir, face aux exigences d'un enfant qui dit : « Je veux maman » ?
Le dos crawlé
Fottorino, Éric
Bog
Été 1976 sur l'Atlantique.
Deux enfants rêvent de pays lointains.
Marin a treize ans et Lisa dix.
Marin raconte le sable qui brûle et autre chose qu'il ne saurait dire quand il regarde Lisa et la mère de Lisa, une ancienne Miss Pontaillac.
Heureusement oncle Abel est là qui veille en douce et monsieur Archibouleau avec ses gros muscles. Et monsieur Maxence qui écoute la météo marine. Et les parties de pêche, les complets poisson, l'odeur des citronniers, heureusement.
Les parents sont si décevants.
Les cœurs s'écorchent. L'enfance se consume.
Un jour Lisa saura nager le dos crawlé.
La mélodie des jours
Fouchet, Lorraine
Bog
La mélodie des jours Aujourd'hui, on guérit du cancer du sein s'il est pris à temps. C'est du moins ce qu'on dit à Lucie... Mais lorsqu'on est maman célibataire d'une petite Léa de onze ans, et qu'on se retrouve seule dans une ville où on ne connaît personne, où trouver le soutien nécessaire ? Sur le Site des Voisins, Lucie découvre, à travers les messages des uns et des autres, une solidarité insoupçonnée. Notamment Charlie, le mystérieux inconnu dont les messages provocants ou drôles l'encouragent chaque jour sur le chemin de la guérison.
« Un livre fraternel, positif et musical. » France Info
Ça m'agace !
Fournier, Jean-Louis
Bog
Il y aura toujours une mite dans ma commode, un moustique dans ma chambre, un camion devant moi, un serveur vocal pour me répondre, un humoriste qui ne me fait pas rire. Et un désespéré pressé, pour se jeter sous mon TGV. Je ne serai jamais content.
J.-L. F.
Amusant et bien vu. C. F., Femme actuelle.
L’art de pointer du doigt des désagréments qui font (presque) l’unanimité. Delphine Peras, Lire.
Et de plus : FACILE À LIRE !
Il a jamais tué personne mon papa
Fournier, Jean-Louis
Bog
Il était docteur, le papa de Jean-Louis Fournier. Un drôle de docteur qui s'habillait comme un clochard, faisait ses visites en pantoufles et bien souvent ne demandait pas d'argent. Ses patients lui offraient un verre.
Il n'était pas méchant, seulement un peu fou quand il avait trop bu ; il disait alors qu'il allait tuer sa femme. Un jour il est mort : il avait quarante-trois ans.
Longtemps après, son fils se souvient. à petites touches, en instantanés, il trace le portrait de ce personnage étonnant, tragique et drôle à la fois. Il a appris, en devenant grand, l'indulgence. Et qu'il ne faut pas trop en vouloir à ceux qui, plus fragiles, choisissent de « mauvais » moyens pour supporter l'insupportable.
Il en résulte un livre drôle et poignant qui a bouleversé des dizaines de milliers de lecteurs.
Je ne suis pas seul à être seul
Nyhed
Fournier, Jean-Louis
Bog
« Mon répondeur est vide, pas de message, personne à qui répondre.
Que ceux qui m’appellent et me demandent s’ils me dérangent, sachent une fois pour toutes : on me dérange quand on ne m’appelle pas.
Hier j’ai eu trois coups de fil.
À 12 h 32, on voulait me vendre une cuisine.
À 15 h 11, c’était la mairie qui m’appelait, à cause de la canicule, pour savoir si tout allait bien.
À 16 h 03, c’était une erreur. »
Avec son humour et sa douce mélancolie, Jean-Louis Fournier signe un récit sensible et espiègle sur la solitude. Jean-Louis Fournier se soigne par l’humour, les traits d’esprit, la provocation hilarante énoncée d’une voix douce et posée avec, dans le regard, la lueur amusée du tendre dynamiteur. Jean-Claude Raspiengeas, La Croix .
J'irai pas en enfer
Fournier, Jean-Louis
Bog
Il a mis la Sainte Vierge dans les w.-c. de l'institution Saint-Joseph.
Il regarde les dames toutes nues dans les livres.
Et, surtout, il a fait à Dieu une promesse qu'il va certainement ne pas tenir.
Le petit Jean-Louis a toutes les bonnes raisons pour aller cuire dans les marmites de l'enfer. Pourtant, quelquefois, il va au ciel. Quand Alfred Cortot lui joue Chopin, quand Luis Mariano lui chante La Belle de Cadix...
Après ses démêlés avec un père alcoolique (Il a jamais tué personne, mon papa), ses démêlés avec le Père éternel.
La Servante du seigneur
Fournier, Jean-Louis
Bog
Ma fille était belle, ma fille était intelligente, ma fille était drôle... Mais elle a rencontré Monseigneur. Il a des bottines qui brillent et des oreilles pointues comme Belzébuth. Il lui a fait rencontrer Jésus. Depuis, ma fille n'est plus la même. Elle veut être sainte. Rose comme un bonbon, bleue comme le ciel. J.-L. F.
Les mots des riches les mots des pauvres
Fournier, Jean-Louis
Bog
L’été, le jardin de Monsieur Riche sent la rose, celui de Monsieur Pauvre sent la merguez et la sardine.
À l’église, les riches sont devant, les pauvres derrière. À la guerre, c’est le contraire.
Quand Madame Riche a des flatulences, Madame Pauvre pète.
Quand Monsieur Riche chasse le lion, Monsieur Pauvre chasse les mouches.
Madame Pauvre s’interroge : pourquoi on dit toujours pauvre con, jamais riche con ?
Dans cet ouvrage de sociologie légère, Jean-Louis Fournier, l’auteur de Grammaire française et impertinente, rappelle fort à propos qu’il vaut mieux être riche et bien portant que pauvre et malade.
Mon dernier cheveu noir
Fournier, Jean-Louis
Bog
Je regarde une vieille photo. J’étais pas mal, avant.
Pourquoi, chaque année, je me trouve de moins en moins bien ? Peut-être parce que c’est l’hiver ? Si vous passez l’hiver, vous verrez : l’été, c’est pareil.
Vous savez comment on s’aperçoit qu’on est vieux ? Quand, même bronzé, on reste moche.
Où on va Papa ?
Fournier, Jean-Louis
Bog
Cher Mathieu, cher Thomas,
Quand vous étiez petits, j’ai eu quelquefois la tentation, à Noël, de vous offrir un livre, un Tintin par exemple. On aurait pu en parler ensemble après. Je connais bien Tintin, je les ai lus tous plusieurs fois.
Je ne l’ai jamais fait. Ce n’était pas la peine, vous ne saviez pas lire. Vous ne saurez jamais lire. Jusqu’à la fin, vos cadeaux de Noël seront des cubes ou des petites voitures…
Jusqu’à ce jour, je n’ai jamais parlé de mes deux garçons. Pourquoi ? J’avais honte ? Peur qu’on me plaigne ? Tout cela un peu mélangé. Je crois, surtout, que c’était pour échapper à la question terrible : « Qu’est-ce qu’ils font ? »
Aujourd’hui que le temps presse, que la fin du monde est proche et que je suis de plus en plus biodégradable, j’ai décidé de leur écrire un livre.
Pour qu’on ne les oublie pas, qu’il ne reste pas d’eux seulement une photo sur une carte d’invalidité. Peut-être pour dire mes remords. Je n’ai pas été un très bon père. Souvent, je ne les supportais pas. Avec eux, il fallait une patience d’ange, et je ne suis pas un ange.
Quand on parle des enfants handicapés, on prend un air de circonstance, comme quand on parle d’une catastrophe. Pour une fois, je voudrais essayer de parler d’eux avec le sourire. Ils m’ont fait rire avec leurs bêtises, et pas toujours involontairement.
Grâce à eux, j’ai eu des avantages sur les parents d’enfants normaux. Je n’ai pas eu de soucis avec leurs études ni leur orientation professionnelle. Nous n’avons pas eu à hésiter entre filière scientifique et filière littéraire. Pas eu à nous inquiéter de savoir ce qu’ils feraient plus tard, on a su rapidement que ce serait : rien.
Et surtout, pendant de nombreuses années, j’ai bénéficié d’une vignette automobile gratuite. Grâce à eux, j’ai pu rouler dans des grosses voitures américaines.
Veuf
Fournier, Jean-Louis
Bog
Je suis veuf, Sylvie est morte le 12 novembre. C'est bien triste. Cette année, on n'ira pas faire les soldes ensemble. Elle est partie discrètement sur la pointe des pieds, en faisant un entrechat et le bruit que fait le bonheur en partant. […] J’ai eu beaucoup de chance de la rencontrer, elle m’a porté à bout de bras, toujours avec le sourire.
C’était la rencontre entre une optimiste et un pessimiste, une altruiste et un égoïste. On était complémentaires, j’avais les défauts, elle avait les qualités. […] Elle n’aimait pas parler d’elle, encore moins qu’on en dise du bien. Je vais en profiter, maintenant qu’elle est partie. J.-L. F
Un crime sans importance
Frain, Irène
Bog
Une femme seule, chez elle et en plein jour, est agressée par un inconnu - peut-être un serial killer. Après ce drame qui a coûté la vie à sa sœur, Irène Frain reconstitue l’envers d’une banlieue ordinaire. Pour conjurer le silence de sa famille, mais aussi réparer ce que la justice a ignoré. Un crime sans importance est un récit taillé comme du cristal, qui mêle l’intime et le social dans des pages tour à tour éblouissantes, drôles ou poignantes.
« L’écriture est une arme qui fait revivre ce que le crime tente d’abolir. »Bruno Frappat, La Croix
Une femme normale
Frèche, Émilie
Bog
" Je suis une femme normale, une femme comme on en croise tous les jours et qu'on remarque... ou pas ! " a-t-elle décrété. Sincère ou faussement modeste ? En tout cas, cette femme normale ne fait pas l'unanimité. Ses amis, ses parents ou ses médecins affirment la connaître sur le bout des doigts, mieux que personne et comme s'ils l'avaient faite, mais ils se contredisent souvent. Son premier mari, par exemple, voit en elle une femme frigide, au contraire de son amant qui n'a droit de l'aimer que dans les toilettes des cafés chics. Son esthéticienne, elle, est persuadée que cette femme normale vit avec un détraqué sexuel. " Si elle veut que son pubis soit totalement épilé, c'est que son homme est un type qui aurait pu finir devant les sorties d'école ! " Pas bête, l'esthéticienne... Forcément sublime pour son fils, envieuse selon sa sœur, insignifiante aux yeux de son banquier, l'identité de cette femme normale se construit et se déconstruit à travers les témoignages, pas toujours très tendres, de sa famille, de ses élus ou de ses intimes. Ils dessinent ainsi le portrait confus mais attachant d'une citadine de trente-quatre ans, travaillant dans la publicité et exerçant une activité émotionnelle relativement normale. Vivacité du ton, humour, subtilité des voix, pudeur font un roman divertissant et original. Dessins, documents et photos se substituent parfois au texte, le rehaussant avec une fantaisie qui confirme la diversité des talents de l'auteur.
Un homme dangereux
Frèche, Émilie
Bog
En France, la narratrice tombe éperdument amoureuse d'un homme bien plus âgé qu'elle qui la convainc de quitter son mari. Pourtant, elle est juive et lui antisémite et il se révèle pervers et manipulateur. La jeune femme entame alors une descente aux enfers sans parvenir à se détacher de l'emprise de son amant
Le lièvre d'Amérique
Gagné, Mireille
Bog
Ikke på lager
Francophonie
romans
Fransk
L’organisme de Diane tente de s’adapter doucement. Elle dort moins, devient plus forte et développe une endurance impressionnante.
L’employée modèle qu’elle était peut encore plus se surpasser au travail. Or des effets insoupçonnés de l’intervention qu’elle vient de subir l’affolent. L’espace dans sa tête se resserre, elle sent du métal à la place de ses os. Tout est plus vif – sa vision, son odorat, sa respiration. Comble de la panique, ses cheveux et ses poils deviennent complètement roux en l’espace d’une nuit. Et puis les mâles commencent à la suivre.
Quinze ans plus tôt, Diane connaît un été marquant de son adolescence à l’Isle-aux-Grues, fait de ces jours de grosse mer où Eugène bravait les dangers, de la fascination de son ami pour les espèces en voie d’extinction et – comment s’en remettre – du soir de l’incendie.
Ce roman, une fable animalière néolibérale, s’adresse à celles et ceux qui se sont égarés.
Un livre empreint de poésie et de sauvagerie bienfaisante. Frédérique Roussel, Libération .
Un vrai petit bijou. Valérie Lessard, Radio-Canada .
Un premier roman remarquable. Yann Perreau, Les Inrockuptibles.
Née en 1982, Mireille Gagné est une poétesse, nouvelliste et auteure québécoise. Après avoir publié plusieurs recueils de poèmes et de nouvelles, elle fait paraître en 2020 son premier roman, "Le lièvre d'Amérique".
Mon vieux et moi
Gagnon, Pierre
Bog
Rien n'engageait le narrateur à adopter Léo, 99 ans. Rien ne prédestinait Léo à venir s'installer chez lui. C'est pourtant le début d'une grande aventure faite de tout petits riens. De silences qui veulent dire beaucoup, de rires qui conjurent le déclin, de tendresse pour ces vieux qui « gênent le passage, s'emmerdent, souhaitent mourir et n'y parviennent pas ». Mais des vieux qui gardent jusqu'au bout un œil clair sur le monde.
Les déferlantes
Gallay, Claudie
Bog
Un jour de grande tempête sur la pointe de la Hague, Lambert revient quarante ans après sur le lieu du naufrage de ses parents et de son petit frère. La narratrice, intriguée par cet homme, va peu à peu découvrir le mystère et les secrets de cette noyade et mettre au jour les liens complexes unissant certains habitants du bourg. Grand Prix des lectrices de«Elle» 2009.
Scalpels
Gancel, Charles
Bog
Grand prix SGDL de la nouvelle
La honte, c’est un coup de scalpel, une plaie qui s’ouvre, le sang qui monte au visage, brûle le front et les joues. La respiration et le cœur s’affolent. Une lourdeur insupportable, un recroquevillé général de soi et, comme une pieuvre qui vous fondrait dessus, une solitude atroce.
Le temps s’arrête et nous sommes nus devant l’univers qui ricane.
Qui n’a pas connu ça ?
Et quelle a été votre plus grande honte ?
Cette question, l’auteur l’a posée autour de lui. Ces dix histoires sont vraies. Il les a transformées, malaxées, trahies le mieux possible, mais le fond, l’acte, l’évènement déclencheur, il n’y a pas touché.
Lune captive dans un œil mort
Garnier, Pascal
Bog
På lager
romans
Fransk
Policiers - Thrillers
Les Conviviales, une résidence de luxe pour seniors, promet cadre paradisiaque, confort et sécurité. Le lieu parfait pour Martial et Odette qui rêvent de couler des jours paisibles et ensoleillés. Oui, mais… En réalité, aux Conviviales, il pleut toute la journée, on tue des chats à coups de pelle, les voisins sont sérieusement névrosés et les balles fusent… La retraite dorée tourne au cauchemar.
La vie devant soi
Gary, Romain
Bog
Depuis 1975, date de la parution de La Vie devant soi, la profonde humanité et la truculence de Madame Rosa et de Momo ne cessent d’émouvoir les lecteurs. Lisez ce roman. Vous y découvrirez des personnages hauts en couleur et profondément humains, la belle histoire d’un jeune garçon arabe et d’une vieille dame juive, une écriture d’une grande inventivité et le dernier mot de Momo : « il faut aimer ».
Le texte intégral de l'oeuvre accompagné de notes de bas de page
Sept fiches four faire le tour de l'oeuvre
1. Romain Gary en 14 dates
2. L'oeuvre dans son contexte
3. La structure de l'oeuvre
4. Les grands thèmes de l'oeuvre
5. Le roman et ses personnages. Visions du monde
6. Le registre comique
7. Citations
Le dossier pédagogique de Domenica Brassel offre également des lectures analytiques au fil de l'oeuvre et un exemple de sujet complet ainsi que deux groupements de textes (l'un sur les camps de la Shoah: récits autobiographiques et l'autre sur les "misérables" dans la littérature.
Une page d'histoire
Gary, Romain
Bog
Qu'ils soient ambassadeurs à Istanbul ou collectionneur d'art et amateur de belles femmes, soldats, prisonniers ou survivants de la guerre, tous les héros de Romain Gary sont des victimes du désespoir et de la folie humaine. Ils se débattent, s'agitent comme de pauvres pantins désarticulés et tentent en vain de résister aux forces qui les entraînent malgré eux...
Quelques nouvelles poétiques, souvent cruelles et désabusées, d’un grand magicien du rêve.